Une puce épargnez la
C’est l’été 1665, la peste bubonique ravage la ville de Londres.
Un couple de bourgeois mis en quarantaine alors qu’ils voulaient fuir la ville comme tous ceux dont les moyens et le rang leur permettent, s’apprêtent enfin à être libérés.
Un marin et une adolescente s’introduisent de nuit dans la demeure barricadée.
Un garde chargé de surveiller que personne ne sorte, Kabe, prolonge la quarantaine.
Un vivarium. Un espace entre île et bunker, un fragment de maison entièrement dénudé placé hors sol, comme arraché au reste de la maison,
de la ville, de la civilisation.
Une longue nuit avec tout ce qu’elle offre de permissivité, de travestissement mais aussi de sincérité.
Alors qu’un simple souffle, que la moindre caresse, représentent un danger, c’est par la peau, par le corps qu’on se rencontre, qu’on se réveille et qu’on
reprend vie au milieu du charnier.
Photos des représentations
Crédit photos : Benjamin Bourgeois et Léa Champin.




Maquettes des costumes
Un texte de Naomi Wallace
Mise en scène : Margaux Moulin
Jeu : Lisa Gautier, Emile Faure, Teresa Sivera Machado, Robin Babey et Samuel Roussel
Scénographie : Sasha Walter
Conception lumière et régie : Elena Lepe Oliver
Conception son : Paul Bertrand
Musique : Grégoire Dyrif et Samuel Roussel
Création vidéo : Corentin Nagler
Conception costumes : Léa Champin
Régie costumes : Louise Daubas
Habillage : Valentine Durand et Mahë Foubert
Teinture : Léa Champin et Louise Daubas
Atelier Costume (coupe et réalisation) : Eva Allegre, Romane Ambellouis, Chloé Antigny, Ameline Baudoin, Agathe Brau, Célestin Car, Mana Faget-Lemoine, Elsa Faure, An- gèle Glise, Valentine Issanchou, Benjamin Jeannot, Thérèse Mennecier, Loïc Nedelec, Morgane Pegon, Marie Stephan, Manon Surat, Clémence Tourbez